Actuellement, je peins des tableaux, qui sont des toiles tendues sur des châssis, en m’y prenant de diverses façons.
Je trame des photographies que je prends, et utilise une méthode classique, qui consiste à reporter une trame sur une autre. Il ne s’agit donc pas d’appuyer sur un bouton, et je n’utilise pas de projecteur, par choix. Pour certaines peintures, il s’agit de paysages urbains, ou paysages, elles sont tirées de photographies argentiques.
D’autres proviennent des différentes sources de l’informatique, et sont aussi tramées de la même manière.
Je peins des vues d’après nature, qui elles sont peintes d’après la perception, sans le recours à l’imagerie photographique.
Naturellement, des peintures qui sont le fruit de mon imagination, qui sont aussi illustrations de récits, pour lesquelles généralement je fais des études, sur des petits formats.
A ces quatre directions, s’ajoute l’exercice de la copie, régulier, qui est relatif au avancées dans ces quatre domaines, d’une manière ou d’une autre. En réalité, sauf lorscequ’il s’agit de commandes, le choix de œuvres copiées, dépend directement de la direction que prend mon travail.
A ce que je concevais comme source de la représentation, dans l’exercice de peindre, est venu s’ajouter la peinture d’après des documents photographiques argentiques, comme numériques. J’ai fixé cette façon de travailler, où existent quatre sources.
Cela fait environ douze ans, que je procède de cette manière, et me tiens à cela, parce que même en restreignant le champs des possibles ainsi, d’infinies possibilités s’ouvrent cependant. Mon travail est réduit à la peinture de chevalet.
Ces documents sont donc présentés sur ce Site, tirées de ces cahiers de bord, de photographies numériques de peintures datant d’une période de trente années, comme d’autres plus récentes, des extraits de textes théoriques, et graphiques s’y reportant, comme une galerie de dessins et de copies.